Bonjour, je m’appelle Federica Coscino. Je suis née à Naples et j’y vis depuis toujours, hormis un court séjour à Rome qui n’a fait que renforcer mes racines napolitaines. Lorsque j’ai décidé d’entreprendre des études en Histoire de l’Art, j’ai choisi de les réaliser à Naples. Je savais que mon parcours professionnel aurait été plus complexe et incertain que sous d’autres cieux, mais, souhaitant me dédier à l’esthétique et à l’anthropologie, la Campanie se révélait l’endroit idéal.
Naples est – Napul’è
“un Paradis habité par les diables”
une ville qui «te blesse à mort ou t’endort, ou les deux choses à la fois»
Les Napolitains «diables aux ailes d’Ange»
Naples Littéraire est une des clés d’accès à la découverte de la Capitale humaine. La Cité et son conte – parcours narratifs Napolitains entre l’imaginaire et la réalité.
L’Autobiographie d’une ville – les Géographies, les Formes, les Genres du
«Romanzo Napoli»
Lire pour Visiter – entrer dans un Roman pour entrer dans une Ville et ses mille vérités et facettes.
Flâneur Littéralement dans les pages, se perdre sous les regards des écrivains, en apportant l’émotion de nos images et de nos lectures, les expériences personnelles, lues et parcourues, avant de partir. Une déambulation oblige par la pratique Odographique.
Relier les sources, les liens entre: l’Histoire et la Littérature – la Littérature et la Ville.
Une balade déconstruite où mettre nos pas dans ceux d’autres hommes de lettres, les plumes qui nous feront parcourir la Naples rêvée et sensible.
La tentative de livrer les clefs des livres, par la citation d’un texte, le désir d’élargir la connaissance de l’oeuvre, autrement de l’approfondir plus avant, au profit d’une lecture silencieuse et individuelle
Balades littéraires, organisées – autour d’un Lieu, d’une Oeuvre, d’un Auteur, un Érudit, d’une Image, un Monument, un Quartier, un Carnet de Voyage, une Impression, une Icône, une Métaphore, structurées par des itinéraires à la carte.
Elles sont destinées à emmener: les “Lecteurs/Promeneurs” – dans une déambulation virtuelle et physique, à la découverte du Patrimoine Topographique et Geopoétique de Naples et sa Baie.
Kaléidoscope Napolitain
Naples est une des villes, la plus contée, décrite, peinte, observée, imaginée, depuis son rôle de Capitale Européenne. Elle a été une étape fondamentale du Grand Tour, les itinéraires entre formation et aventure, les cahiers des aristocratiques, les Travellers du XVIII XIX siècles, la pratique collective du Passage, des Lumières au Romantisme, perle du «Le Poème du Voyage en Italie».
Naples reste une invitation au regard, l’exercise de l’observation. La folie de couleurs locales ou étrangères, fausses ou athentiques, qui deviennent holographie, clichés.
Combien de force elle possède pour les soutenir tous et les interpréter avec légèreté, grâce et personnalité.
Ville d’Auteur, et toujours en Fête, née Grecque, nuancée par les Romains, Normands, Suédois, Anjou, Aragonais, Espagnols, Autrichiens, Français, Piémontais, Allemands, Américains. Touches sur touches, composent le retable originel, d’une Polis – porte et frontière, le berceau de la Culture Occidentale et Orientale.
Écrire sur Naples c’est un risque ambitieux. Lire de Naples c’est d’acceder à la Rubrique de ses événements au coeur de l’Europe, une Capitale du caractère fort et résilient.
La durée millénaire de son imaginaire, depuis sa naissance, ses figures inaugurées et variées, en sont l’appendice.
Les miroirs – indices – de la Cité comme “Intérieur familial” et “Labyrinthe”. Le Paysage et son Mythe.
La trame insidieuse d’une multiplicité de formes et de genres, qui cohabitent avec les réductions forcées, folkloriques, amusantes et académiques.
La vie Napolitaine est une scène permanente et offerte, fascinante pour ses ouvertures intimes, libertines et clandestines. La Ruelle – une âme nue, et qui peut dénuder, désorienter, incapable de posséder, de se donner et de donner des limites.
Entre la sphère privée et celle publique, la linge prête à écrire – les textes, qui copient la spontanéité, – plus belle que toute fantaisie…
Les Pistes – les Thèmes
Le roman historique
Rien de Rien – La Main à la Pâte
Le maniérisme étranger du « Pittoresque »
le goût, les graffitis, les escapades des intellectuels du Grand Tour – l’art des notes – les influencers d’antan. L’excursus du diariste amusée, l’épistolaire du quotidien méthodiquement organisé
L’écriture geniale Napolitaine
le colorisme, le « Pictural » local. Le Vérisme et le Léxique amère, la Misère et l’Or. La Poétique de l’Ironie, – “Adda passa a nuttata”. Depuis Bocaccio – avant et après le cas “hors de Naples” – de la Ferrante et de Saviano.
L’après – guerre
Mani sulla città, les années 50 – 60 – 70, la Génération Difficile
Les méthaphores
la Mer – le Ventre – la Peau – la Plèbe- le Mal – la Fable – la Mort – le Sang – l’Or – la Napoletanità
Les icônes
au de là de Naples, le reportage Vésuvien, l’Esthétisation de la Baie et Pompei, depuis la provence à la périphérie
L’impressionnisme Napolitain entre les pentes du Vésuve et dedans les venelles
flâneries – dépaysements – fuites – dénudements – fascinations
Certains Auteurs
Maurizio de Giovanni Erri de Luca Elena Ferrante Roberto Saviano.
Curzio Malaparte Guiseppe Marotta Anna Maria Ortese Matilde Serao Raffaele La Capria Domenico Rea Emanno Rea.
Alexandre Dumas Goethe Jean Paul Sartre Albert Camus Marcel Proust Lamartine Madame de Stael
Bibliograhie sur Naples – succincte – Italienne et Française
Consultez – vous – mêmes le Plan littéraire de Naples (projet ouvert – idée par – « Identità Insorgenti.com »)
les milliers de références littéraires sur la Ville – Monde de Naples.